Voler comme un oiseau, c’est la sensation procurée par les activités en parapente. Il y a tout de même quelques règlements à suivre et de bons conseils pour ne pas avoir peur.
Où est-ce qu’on peut faire du parapente en France ?
Tout parapentiste doit suivre une formation avant de se lancer dans cette aventure. En France, il existe un centre nommé FFVL ou Fédération Française de Voile, et normalement, il en existe dans toutes les régions de France où vous pouvez demander des renseignements à propos de cette activité.
Le parapente doit s’exécuter dans un grand espace, et l’idéal est de prendre quelques altitudes pour lieux décoller. Vous avez plusieurs endroits en France ouverte à cette aventure telle que le Rhône-Alpes dans les Pyrénées, ou encore à Vosges dans la partie de la Côte d’Azur, en Bretagne dans les Aquitaine, etc. Ce sont des lieux où vous avez la possibilité d’apprendre du parapente et d’en pratiquer avec un guide professionnel bien évidemment.
Une initiation au parapente
Pour voler, il est important de connaître son poids, de bien vérifier à cet effet le profil des ailes, et d’écouter les explications du coach pour la manipulation des guides pour freiner et pour activer la vitesse. Tout ce qu’il vous faut pour prendre l’envol est un coup de vent. Vous n’avez pas besoin de soleil ou que le ciel se dégage, le vent, c’est tout ce dont vous avez besoin. Attention pourtant, voler durant la pluie est dangereux.
Débuter le parapente
Maintenant que vous êtes bien équipé, vous pouvez tout d’abord apprendre à manipuler le parapente sur place. Courir sur le terrain et essayer de garder l’équilibre sans décoller, juste manier la vitesse, et les guides. Cette étape se nomme gonflage, et normalement, cela dure une semaine environ. Puis, la première petite vole, là, vous ne mettez plus pied à terre, mais montés à quelques centimètres du sol, pour apprendre la stabilité.
La première grande vole est juste le moment le plus incroyable de la vie, vous ne dépendez d’aucun moteur, puisque vous êtes autonome. Attention juste à l’atterrissage qui risque de faire du mal quand on ne choisit pas son terrain, mais c’est aussi une question d’habitude.